
Avec Pokémon, les jeux Zelda font incontestablement partie des expériences vidéoludiques que j’apprécie beaucoup. L’empire Nintendo a raison de moi à chaque fois que je me lance dans une de ces aventures titanesques : certaines, comme Ocarina of Time, ont largement marqué mon expérience de gameuse, d’autres comme BOTW m’ont laissé un goût amer, un goût désagréable digne d’un lendemain de soirée où tu aurais eu l’idée débile de mélanger consommation d’alcool et fumette. Mauvaise idée ! (Y en qui ont eu des problèmes, mec !)
Sauf erreur de ma part, je pense que c’est Minish Cap qui m’a plongé une première fois dans cet univers aussi riche qu’incroyable. Mais pour être honnête, mes souvenirs sur ce jeu sont très vagues donc je préfère éclipser ce jeu pour arriver directement à ma première initiation sur un jeu Zelda : Ocarina of Time.
Ce jeu est arrivé comme un cheveu sur la soupe au moment de l’achat de la 3DS. En effet, j’ai découvert avec beaucoup plus d’application Link et Epona très tardivement car mon entourage parasitait mes explorations vidéoludiques : « Ah non Pichu ! Arrête de jouer à la console ! » , « Pichu, éteins ça, il y a mieux à faire. » Bref, une grosse galère !

Ocarina m’a alpagué avec tant de force que j’ai eu un mal de chien à m’en défaire jusqu’à ce que je le termine. Et de ce fait, avec un autre opus, il est un des rares Zelda que j’ai réellement fini. Outre les graphismes somptueux, ce jeu restera le premier grâce auquel j’ai mis le doigt dans l’engrenage de la machine « The Legend of Zelda. » Mon dieu, je serai passée à côté de jeux tous plus magnifiques les uns que les autres.

Cependant, même s’il m’a fait découvrir une licence d’anthologie, Ocarina ne figure pas dans ma liste de Zelda favoris. En effet, depuis cette découverte, j’ai eu enfin le loisir de pouvoir me pencher avec plus d’application sur les jeux de cette saga culte. Il va de soi que certains jeux m’ont laissé une trace plus indélébile que d’autres. De ce fait, je prends enfin le temps de brosser le portrait des trois jeux de la licence que je préfère.
ATTENTION: Il est plus facile de parler ce que l’on connait que de ce que l’on ne connait pas alors je n’évoquerai que les jeux auxquels j’ai eu la chance de pouvoir jouer.
A NOTER : même s’il est un peu crétin de le rappeler, ce classement est totalement subjectif et ne reflète en aucun cas l’opinion générale. Malheureusement, je préfère le redire au cas où l’on viendrait me chercher des poux, hein ! Le classement suivant est dans l’ordre décroissant (le n°1 étant mon favori)
3- ZELDA MAJORA’S MASK – 3DS/N64

Ah mon dieu ! Ce jeu m’en fait bavé en permanence sur mon Let’s Play (qui est toujours dispo sur ma chaîne, même si je n’en parle pas beaucoup) mais qu’est-ce que j’adore ce jeu ! Il me fait mal, tellement mal. Il me résiste. Il me déteste même ! Pourtant, je pense en surprendre certain(e)s en le mettant sur la 3ème marche du podium. Que ce soit la version 3DS qui est arrivée entre mes mains complètement par hasard ou la version N64 que j’utilise pour mon LP, j’éprouve beaucoup d’affection pour cette superbe aventure.
LE RÉSUMÉ FOIREUX DE PICHU
Le jeu s’intègre dans la continuité directe de Zelda Ocarina of Time où l’on retrouve Link en compagnie d’Epona qui ont l’air un peu perdus dans une forêt aussi accueillante que celle de Blanche Neige et celles croisées dans de tes pires cauchemars. Au détour d’un bosquet brumeux, deux petites fées un peu facétieuses effrayent Epona qui fait tomber notre héro aux oreilles pointues. Attendant le bon moment, Skull Kid dépouille Link de toutes ses affaires jusqu’à son propre cheval. Une course-poursuite s’engage alors dans les tréfonds de la forêt jusqu’à attirer Link dans une crevasse mystique, entrainant sa chute dans les ténèbres. Cette chute n’est que le commencement d’une aventure palpitante dans le cœur des plaines de Termina.
« Tu es confronté à une terrible destinée n’est-ce pas ? – Le Vendeur de Masque »
CE QUE J’AIME

A mon sens, avec un autre opus qui suivra plus tard, ce jeu m’attire car il est vraiment très sombre ; que ce soit par les graphismes changeants ou par les thèmes graves qui y sont abordés. Rien que pour cela, j’adore ce jeu ! Depuis toujours, je pense que c’est ce qui m’a le plus marqué car il tranche radicalement avec Ocarnia of Time, et ce, sur bien des aspects.
Pour les thèmes, comme je l’évoquais, ils sont marquants car si le jeu est sensé s’adresser à des enfants, la maturité nécessaire pour en comprendre tous les concepts est plus proche de celle d’un adulte.
La mort prend une place prépondérante et cela se vérifie juste en se penchant sur l’objectif du jeu qui est de récupérer quatre masques sur quatre personnes mortes ou mourantes. De plus, cela a grandement été appuyé pour toutes les théories gravitant autour de ce jeu sur internet : les 5 étapes du deuil selon Külber-Ross ou Links est mort. Je ne vais pas tout réexpliquer, certains le font mieux que moi mais je dois bien avouer que cela est troublant lorsque l’on y regarde de plus près.
Le deuil et l’acceptation de la mort de l’autre, restent deux autres thèmes très palpables.

L’amitié sous toutes ses formes ainsi que les déboires de celle-ci. Le postulat de base part d’une dispute entre Skull Kid et des géants. Celle-ci fera du petit diablotin la vile créature que le joueur ou la joueuse affrontera à la fin du jeu. C’est à cause de cette tristesse que Majora prendra possession de Skull Kid.
A NOTER : Oui, oui, Skull Kid, et je pense que c’est voulu de la part des développeurs (dans sa gestuelle ou même sa façon d’être) n’est qu’un pantin servant de support au Masque de Majora qui est lui, le véritable antagoniste de cet opus. Contrairement à ce que je pensais dès le début.
CE QUE JE DÉTESTE

Alors ce serait peut-être un peu hypocrite de relever des imperfections sur un tel jeu mais je dois bien avouer que, même s’il y a plus de côtés positifs que de côtés négatifs, cette petite pépite de Nintendo me fait parfois tiquer. Ce jeu, comme je l’ai dit plus haut, me fait mal et ce n’est pas un hasard.
L’aspect de la Lune qui s’écrase la gueule sur Termina me pique un peu la tête. Non, sérieusement, regardez-là ! Ce truc est une pure horreur ! Et cela contribue à cette ambiance super glauque qui plane sur Termina. Elle est là, les yeux grands ouverts et elle tombe. Et quand tu penses l’avoir oublié, elle te rappelle à l’ordre chaque nuit ! Elle va s’écraser, mother fucker !

Alors oui, quand tu sors d’un Ocarina of Time aux petits oignons sans grands défauts, il est un peu frustrant de constater que Majora’s Mask ne soit pas si long. Ça, c’est si tu décides ne pas le faire à 100%, bien évidemment. 4 temples, ce n’est pas fou-fou quand on y pense mais le jeu truffé de quêtes secondaires plutôt cohérentes avec l’univers qui permettront de rallonger la sauce pour les plus voraces d’entre vous, mes Pichu !

Le truc qui m’a toujours fait un peu grincer des dents, à l’instar de la Master Sword glace Miko de BOTW, c’est que dans Majora’s Mask, il n’y a pas d’épée de légende. C’est peut-être un détail de rien du tout sauf que cela peut avoir son importance. Oui, oui, je sais bien que cela contribue à renforcer la théorie de la Mort de Link, mais j’avoue que ça m’emmerde. Si Link est mort, alors il n’a plus besoin de son épée légendaire.
Link n’a pas sa Master Sword.
Point.
2- ZELDA WIND WAKER – GAME CUBE

Ouh ! Encore un petit (non, pardon, un énorme) jeu qui me vend du rêve quand j’en entends parler ou que je reconnais une de ses musiques. Il est, avec Majora’s Mask, un des autres jeux que je n’ai jamais réussi à finir soit par manque de temps soi par manque de patience (dans ce cas-là, on est plus sur un manque de temps : trop de jeux en cours mais j’ai appris à me discipliner pour éviter de m’éparpiller). Mais j’y ai suffisamment joué pour savoir que j’adore cet opus, et j’ai également regardé quelques let’s Play qui ne m’ont que d’avantages convaincue. J’ai acheté une vieille Game Cube juste pour ce jeu !
LE RÉSUMÉ FOIREUX DE PICHU
Le jeune Link aux contours plus enfantins et plus colorés se réveille en haut de son mât (quelle idée d’aller dormir dans un endroit pareil) appelé par sa petite sœur aussi blonde que les blés, voire presqu’aussi blonde que les rayons du soleil. En ce grand jour spécial qui est son anniversaire, Link aura le droit à une belle surprise de la part de sa sœur (une tunique verte bande gros dégueulasses !) Celle-ci est cachée dans un recoin de Mercantile, une petite île pleine de charmes que compte une Hyrule océanique.
Sauf que, forcément, tout ne va pas se passer comme prévu dans cette vie si paisible en apparence : la petite sœur de Link se fait kidnapper en plein jour par un grand et imposant oiseau noir chargé de ramener à son seigneur toutes les jeunes filles blondes aux oreilles pointues. Link sera donc prêt à tout pour libérer sa sœur, quitte à faire ami-ami avec un équipage de pirates pas très joyeux.

CE QUE J’AIME

Cette histoire d’amour avec ce jeu commence dès les premières secondes où il se lance : elle est douce, joyeuse et très entrainante ; l’OST. Avec pour thématique la musique, cet opus est un bonbon auditif ! Dès que la musique d’intro commence, j’ai la peau recouverte de frissons qui grouillent jusque dans mon ventre, c’est tout bonnement jouissif. Pour continuer dans la même lancée, chaque musique est un pur délice à écouter sans restriction. De plus, Link est un parfait chef d’orchestre pour manier le vent comme bon lui semble, un vrai maestro !
Cette ambiance musicale ne peut que coller avec les graphismes colorés qui nous accompagnent à chaque minute du jeu. A mon sens, et je peux me tromper, ZWW est le plus beau jeu de la saga Zelda. C’est beau, c’est coloré et surtout, le jeu n’a pris une seule ride depuis sa sortie. Que cela passe par la modélisation du vent, de l’eau et même des personnages. En parlant de cela, ce que j’aime beaucoup, et tu le vois quand tu débloques la boite à image, ce sont les têtes improbables de Link qui passe de la joie au mec complètement bourré un vendredi soir après le taff. Cette finesse du détail est juste sublime.

Et pour aller plus dans le détail, là, les personnages, en passant du héros jusqu’à l’antagoniste, ont une personnalité hors du commun. Tétra est une vraie garce quand elle a décidé de l’être. Quant à Lion Rouge, au-delà de sa bienveillance innée chez le héros, c’est sa sympathique qui me plait le plus chez lui. Par rapport à l’antagoniste, c’est l’un des « Ganon » les plus classes qui puissent exister ! Il est charismatique, machiavélique et très sournois.
CE QUE JE DÉTESTE
Plus haut, je disais que j’adorais la musique et que l’objet (pour ne pas citer) que débloque Link est chouette… Pour le reste, c’est une catastrophe ! Pour passer d’une partition à l’autre, il est très facile de se tromper en pressant le mauvais bouton ! Alors oui, je n’ai pas testé le rendu sur Wii U mais sur Game Cube, la jouabilité de ce truc est juste beurk… Epouvantable ! Désolée mais non merci ! Pour le coup, l’Ocarina du Temps qui vaut ce qui vaut est bien simple. C’est un peu la même catastrophe atomique que la harpe de Zelda SWS. Bref, c’est un autre détail !


Toujours dans la même continuité de ce que je disais plus haut par rapport aux personnages, Médoly me sort un peu plus par le nez que les autres. Ah, là, pour le coup, cette nana et moi, ça ne passe pas : pas du tout. Non, non, les moments passés avec elle sont loin d’être agréables pour moi.
Enfin, même si j’apprécie grandement Lion Rouge, les déplacements avec lui sont… Chiants ! On se fait rudement chier, et ça prend masse de temps. Après ce que je dis est valable pour la version Game Cube et non pour la version WII U. En effet, je tiens à atténuer mes propos car Nintendo a contrebalancé cette affaire en permettant de débloquer une voile plus grande et donc qui permet à Lion Rouge de se déplacer bien plus vite qu’avant. Sans compter qu’il est largement possible de se bouffer un mob qui va t’envoyer valdinguer à l’autre bout de la map. De ce fait, tu vas devoir te retaper le trajet dans sa totalité.
1- ZELDA TWILIGT PRINCESS – WII
Ah, là, on arrive sur du puissant, du très puissant. Ce jeu, je le porte vraiment très haut sur le classement, bien plus haut que les deux autres, car c’est un bonbon à l’état pur. Pour bien comprendre cette raison, je dois de me poser les bases.
Avec Pokémon Rubis Oméga et The Last Of Us, il est un des jeux que je souhaiterai faire à 100% avant de clôturer ma chaîne Youtube. Et je ne le ferai pas sans avoir fait découvrir ce beau jeu que ce soit par le biais de l’émulation, ou par le biais d’une console. La rumeur court sur un possible portage sur Switch de cet opus (un de plus) donc préparez-vous…

CONTEXTE DE DÉCOUVERTE

Durant ma première année d’étude, je n’étais pas heureuse : décrochage scolaire, solitude, isolement et dépression, un joyeux cocktail à boire tous les jours sans modération. Mais c’est aussi grâce à cette année que je me suis intéressée à Youtube, mais là, je m’égare…
A Noël 2012, de cette même année, j’ai craqué mon slip en m’offrant une magnifique 3DS Pikachu avec le jeu Ocarina of Time qui m’a permis de découvrir avec plus de profondeur cette licence. Sauf que dans mon appartement, j’avais aussi une vieille Wii que j’avais embarqué de chez mes parents pour m’occuper un peu. Et je me suis rappelée que j’avais acheté un vieux jeu Zelda. Ayant aimé Ocarina of Time, c’est tout naturellement que je me suis tournée vers Zelda TP. Et le pari a été 100% gagnant. Etant en décrochage scolaire, j’ai passé mes soirées dessus pour m’échapper de mon quotidien morne.
Une vraie bouffée d’oxygène, en somme.
LE RÉSUMÉ FOIREUX DE PICHU

Link, ou peu importe le nom qui lui serra donné, vit dans le coquet petit village Toal. (Toal, pas Toad, qui est le pire des arnaqueurs de la franchise Nintendo, donc rien à voir) Il est responsable d’un troupeau de chèvre dont il s’occupe avec l’aide de la belle jument Epona. (Si, si, la même qu’Ocarina ou Majora’s) Insouciant de tout danger, il vit en parfaite harmonie avec les villageois et leurs enfants.
Mais tout bascule le jour où le chef du village demande à Link de livrer une épée à la famille royale d’Hyrule. Alors qu’il était sur le point de partir, Toal subit une terrible attaque de trolles et autres gobelins dégueu. Lorsqu’il reprend conscience, les enfants du village ont disparu et un portail obscur se rapproche du village, plongeant tout ce qu’il engloutit dans l’ombre.
Que se passe-t-il à Hyrule ?
CE QUE J’AIME
Ce qui m’a le plus marqué au début de cette aventure est l’immensité de la map en semi-ouvert, surtout lorsque tu progresses dans l’aventure principale. Comprenez-moi bien, avant de passer sur la Wii, j’ai toujours joué sur PSOne donc tout me paraissait si grand, si démesuré. Et oui, contraire à d’autres, j’ai adoré et j’adore toujours le motion-gaming. Alors quand je me suis retrouvée dans cette map immense, je me suis sentie perdue. C’est étrange de dire cela, maintenant, en 2021 alors que les jeux sont de plus en plus grands (et mal codés, hein !) Mais à l’époque, j’en ai eu de supers sensations.

Combiné à cela, j’ai adoré le jeu d’ombre et de lumière de faisant l’ambiance mature de cet opus. (A l’époque, je ne connaissais pas encore Majora’s Mask) Même si je n’avais pas la même qualité de téléviseur qu’aujourd’hui (je jouais sur une télé cubique, une bonne vieille télé cathodique) les graphismes étaient tout bonnement saisissants. Et même en y ayant joué durant le confinement de Mars 2020, les graphismes n’ont pas pris une seule ride. Je parle bien de la version Wii, pas du remaster Wii U.
Cette maturité saisissante pour un jeu Zelda va de pair avec le développement des personnages que ce soit les héros ou les antagonistes : Midona est, à mon sens, la meilleure équipière dont nous puissions rêver pour parcourir le monde d’Hyrule. Elle est belle, sous toutes ses formes. Elle a un caractère franc et direct. Et surtout, elle a de véritables motivations pour aider Link dans sa quête. Taya, la petite fée de Majora’s Mask, a sensiblement le même caractère mais quelque chose ne prend pas aussi bien que Midona. Tout opus confondu, elle est la meilleure des compagnes de jeux. Je laisserai donc copieusement de côté Faya et Navy, ça, ça part directement à la poubelle.

CE QUE JE DÉTESTE
Eh oui, il faut bien nuancer mes propos quelques minutes car ce jeu, bien que ce soit mon Zelda préféré, n’est pas sans défaut. (Dès que cela sera possible, une chronique sera faite sur ce jeu pour mettre en détail ses points forts et ses points faibles)

Ce que je n’aime pas dans les jeux, ce sont les quêtes FedEx qui te rallongent artificiellement la durée de vie d’un jeu et les quêtes super longues, voire impossibles à finir. Dans Zelda TP, l’une d’elle consiste à récolter des couples d’insectes dans une map qui est, je le rappelle, immense. Ces insectes sont pourtant indispensables pour agrandir la bourse de rubis. Sauf qu’ils sont impossibles à trouver en pleine journée. Il faudra donc attendre la nuit et ouvrir grand les yeux pour espérer les ramasser. Bien sûr, il est à noter qu’il n’est pas nécessaire de tous les avoir pour agrandir la bourse mais il y a tout de même un quart de cœur à la clé.
J’dis ça, j’dis rien…
Même si j’admets aimer le motion-gaming, il y a certains aspects de la jouabilité qui m’ont fait parfois tiquer. Le plus relou étant le tuto de l’épée car certains mouvements ont parfois mal captés par la sensor-barre. C’est toujours un grand moment de détresse de devoir passer cette étape. Sans compter que parfois, il faut viser directement avec les armes débloquées au cours de l’aventure. Un simple ‘lock’ sur la cible n’est pas toujours suffisant. Bref, pas cool…

Enfin, je titille un peu mais j’ajouterai que certains éléments du game-play sont mal exploités. Typiquement, durant l’aventure, surtout au début, il est possible de se déplacer avec Epona. Avec le recul, je pense aussi que c’est pour cette raison que j’ai une impression de grandeur dans ce monde semi-ouvert. Sauf que plus tard dans le jeu, il y a une fonctionnalité dans le jeu qui permet de se téléporter plus simplement. Et je trouve que c’est dommage car il manque ce côté peps qu’apportait la balade à cheval. Attention, Epona est très bien exploitée : mission d’escorte (même si j’ai horreur de ça) ou combat à cheval, il y en a pour tous les gouts. Sauf que notre belle jument finit par partir en steak Charal un peu trop tôt à mon gout.
EN CONCLUSION
Bref, je pourrais encore en dire pléthores de mots. Voilà ce que m’inspirent les jeux Zelda. Bien entendu, je suis très curieuse de découvrir d’autres jeux de cette saga si mythique car je n’en ai pas encore vu la moitié. Cependant, c’est aussi grâce à eux que je n’arrive pas à me faire au nouveau concept imposé par BOTW. Un Zelda à l’ancienne, il n’y a rien de plus vrai !

Originalement, cet article aurait dû sortir en même temps que Zelda Skyword Sword. Cependant, cela m’a permis d’obtenir des retours de ce jeu qui, selon certains, et l’un des plus mauvais car il a été développé sur la base du motion-gaming. Dès que je le jugerai nécessaire, je prendrai ce petit bijou qui moi, m’a beaucoup marqué.
L’histoire est très belle, et il en va de même pour l’OST qui est sublime. Ce jeu, un comme Zelda TP, a marqué mes années d’étude car c’était celui auquel je jouais pendant que « les copains » de promo s’amusaient à être le plus carpette possible. Pichu, elle, elle était dans son coin avec sa vodka et son jeu. A l’époque, il n’y avait pas de Crocopik…
Voilà tout ce que je pouvais dire à propos de Zelda.
En espérant que cela vous ai plu, je vous fais des mimis partout !
